axe du mal造句

• Un axe du mal fut nommé.
• Frum est l'auteur de l'expression axe du mal citée par Bush lors de son discours au Congrès en janvier 2002.
• Mon pays a été montré du doigt, désigné comme composante d'un axe du mal et comme cible d'une attaque nucléaire préventive.
• Au contraire, leur position s’est durcie en définissant un « axe du mal » et en qualifiant leur lutte contre le terrorisme de « guerre ».
• Il conviendrait aussi que, dans l’information, on soit plus attentif aux termes utilisés comme « axe du mal », « guerre des civilisations », « croisade contre le terrorisme ».
• Toutes sortes de raisons ont été fournies par son gouvernement : légitime défense, changement de régime, « travail non terminé », démocratisation, répression de l’« axe du mal », etc.
• Tout en rejetant la notion d’« axe du mal » du président Bush, Poutine adhérait à l’idée plus générale qu’« un arc d’instabilité était apparu, allant des Balkans aux Philippines »16.
• Tuto a déjà déclaré que si Evo l’emportait, il pourrait bien venir renforcer un axe du mal latino-américain reliant le gauchiste bolivien à Fidel Castro à Cuba et Hugo Chávez au Venezuela.
• L'Administration du Président Bush a déclaré que la République populaire démocratique de Corée faisait partie d'un axe du mal et était un bastion de la tyrannie, et a menacé de lancer une attaque nucléaire préemptive.
• La tendance des Américains à focaliser la « guerre contre le terrorisme » sur l’« axe du mal » a relancé et intensifié le débat sur les Etats voyous et la façon de les gérer.
• La conception américaine des « Etats voyous » ou de l’« axe du mal » dresse une liste, d’ailleurs variable, d’Etats qui se placeraient en dehors de la société internationale et perdraient, du même coup, leur droit à l’indépendance ou à la souveraineté.
• Faire face à l’« axe du mal » La Corée du Nord La Corée du Nord se trouve dans une situation désespérée : économiquement exsangue, elle a perdu ses alliés et se trouve confrontée à une alliance d’ennemis qui lui sont bien supérieurs.
• Après tout, même les paranoïaques peuvent avoir des ennemis ; être classé en 2002 parmi les membres d’un « axe du mal » par un président qui déclare par ailleurs « détester » Kim-Jong-Il ne pouvait que conduire à renforcer la détermination nord-coréenne14.
• Le président Bush peut avoir ou ne pas avoir été négligent lorsqu'il a désigné l'Irak, l'Iran et la Corée du Nord comme étant un `` axe du mal '', mais il a signalé avec justesse les nombreux liens cachés dans la chaîne terroriste mondiale.
• Il faudrait des circonstances extraordinaires pour que cette relation fondée sur la méfiance ne change : si l’Iran devenait la cible de menaces militaires en tant que deuxième membre de l’« axe du mal », il pourrait être confronté à une montée du fanatisme sur son sol.
• La situation lui a été encore plus défavorable sous le président Bush avec la rupture des relations diplomatiques, l’apparition de l’expression « axe du mal » et la Nuclear Posture Review qui a fait de la Corée du Nord l’une des sept cibles potentielles des armes nucléaires américaines.
• Il est un domaine en revanche où la question du terrorisme NRBC a ouvert un débat transatlantique difficile ; il concerne la politique à l’égard de l’« Axe du Mal », une expression malheureuse qui figurait dans le discours du président Bush sur l’état de l’Union en janvier 2002.
• Quant à la Corée du Nord, qui a relancé ses programmes d’armement nucléaire après avoir été incluse dans le fameux « axe du mal » dénoncé par le Président Bush, elle a fait depuis l’objet d’un intense effort diplomatique multilatéral pour éviter que la péninsule coréenne ne se trouve bloquée dans une impasse nucléaire.